
Connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, Olivier Marchal, ancien policier devenu acteur et réalisateur, a souvent défendu la police au fil des années. Un préjugé qui a fait que ses enfants ont reçu des menaces de mort.
Olivier Marchal est l’heureux papa de quatre enfants nés de son histoire d’amour avec l’actrice Catherine Marchal, dont il est séparé depuis plusieurs années. Ensemble, ils ont accueilli leur premier enfant, une fille prénommée Léa, en 1994. L’acteur a retrouvé le goût de la paternité en 1998 avec la naissance de sa deuxième fille, Zoé. Le couple a ensuite eu une troisième fille, Ninon, née en 2006, et un petit garçon prénommé Basile, né en 2009. S’il se confie rarement sur sa vie de famille, le réalisateur a récemment révélé dans les colonnes de Voici déjà ses quatre enfants ont été menacés de mort depuis qu’il a pris la défense de son ancien métier. Pour rappel, avant de devenir un acteur et cinéaste célèbre, Olivier Marchal a travaillé dans la brigade criminelle pendant plusieurs années. Face à ces menaces de mort, le réalisateur a indiqué qu’il avait pris la décision de ne plus manifester son soutien aux autorités pour s’occuper de sa famille.
“Mes enfants ont été menacés de mort”
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Après avoir expliqué dans les pages de l’hebdomadaire qu’il ne reviendrait pas dans les rangs de la police, Olivier Marchal a annoncé que ses quatre enfants ont reçu des menaces de mort depuis qu’elle s’est rangée du côté de la police. “Moi, j’ai toujours pris parti, mais maintenant je ne le fais plus, car ce sont mes enfants qui sont menacés de mort”, a-t-il déclaré. Et ajouter: “Quand j’ai pris le parti de la police, c’était trop loin. Alors tous ces pseudo-acteurs qui commencent à prendre position sur des choses qu’ils ne connaissent pas… Évidemment il y a des pommes pourries dans la police, mais en France, on ne se trompe pas une fois par semaine, mais une tous les deux ans .”
L’ex-flic est en colère contre les artistes qui critiquent les forces de l’ordre
Ce n’est pas la première fois que l’acteur s’en prend à ses collègues qui se sont auparavant opposés à la police. En 2020, il a notamment défendu la police contre des artistes de “deuxième zone” OMS “continuez à virer des flics quand ce sont des gens qui vivent dans des quartiers privilégiés, avec des emplois privilégiés.” Selon lui, ces personnalités “Bénissez et apportez ce discours de haine qui est inacceptable.” Et pour continuer : “Il y en a beaucoup qui dominent l’industrie du cinéma, beaucoup d’entre eux prennent le bien-être des gens. C’est facile de diffuser pendant 2 minutes et ensuite de ne rien faire.”
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L’article a été écrit en collaboration avec 6Médias