
Ce mercredi, le Conseil d’Etat a suspendu l’arrêté du 30 décembre 2021 interdisant la vente, la détention et la consommation de fleurs de CBD, avec leur taux de THC inférieur à 0,3%.
Recommandé pour ses fonctionnalités calmela fleur de CBD avait fait l’objet d’une commande passée le gouvernement en décembre 2021, puis annulée un mois plus tard par le juge des référés, saisi par de nombreux commerçants. Par son décret, le gouvernement a interdit la terre vente, consommation et possession de ces fleurs pour des raisons de santé publique. L’ordonnance mentionnait également le problème que des fleurs de CBD pouvaient apparaître lors d’enquêtes policières, sans que les agents soient en mesure de faire la différence entre le CBD et le cannabis, qui ont une apparence et une odeur similaires.
Il n’y a pas de risque psychotrope ni de dépendance
La décision du Conseil d’État est claire. La fleur de CBD ne peut pas être considérée comme un produit stupéfiant car elle n’en contient pas Pas assez de THC produire un effet psychotrope ou addictif. Jugeant qu’il n’y a pas de risques pour la santé publique, Le Conseil d’État n’a vu aucune restriction à la vente, à la détention et à la consommation de ces fleurs.
” Le CBD a des propriétés temps libre et repos et effets anticonvulsivantsmais il n’a pas d’effet psychotrope et ne provoque pas d’accoutumance, contrairement THC “, a expliqué le Conseil d’État.
Le Conseil d’État annonce également la mise en place de tests rapides, capables de distinguer ces fleurs du cannabis, en analysant le taux de THC lors des contrôles des policiers.
Commerçants de secours
Tandis que 2000 boutiques dans la zone engagée dans la vente de CBD, la suspension de la commande en janvier de l’année dernière a laissé les commerçants dans une situation incertaine. Cette décision permet donc de le fixer cadre juridique clair concernant le devoir de ces fleurs et son octroi stabilité à l’activité marchande.
” L’interdiction de commercialisation, prévue par le décret du 30 décembre 2021, aurait dissous le secteur uniquement et purement et simplement. On parle de 2 000 boutiques uniques qui auraient dû fermer leurs portes portail », a-t-il confié à franceinfo Charles Morel, président du Syndicat des professionnels du CBD.
L’Association française des producteurs a également salué cette décision sur Twitter cannabinoïdes. L’association vu que cette ordonnance éliminera la validité du CBD.
C’est officiel, l’article 1 de l’arrêté du 30 décembre est annulé.🥳
C’est un grand jour pour tout le secteur, nous obtenons enfin la légitimité pour laquelle nous nous battons depuis la création de l’AFPC ! 💪 https://t.co/ViNzEMwbrZ…@shemp @UPCBDfr @l_afpc pic.twitter.com/9Dpg26phlc
— AFPC (@l_afpc) 29 décembre 2022
Par cette décision, le Conseil d’Etat fonde sa décision sur Cour de justice de l’Union européenne a été publié en novembre 2020, qui avait déjà statué sur l’interdiction par la France du CBD illégal.